• Samedi 10 et dimanche 11 octobre se tiendra Dix sur Dix, la première édition du festiforum de la vie locale du 10ème arrondissement de Paris, qui se tiendra aux Récollets et dans les jardins de Villemin (148, rue du Faubourg Saint-Martin, 75010 Paris, Métro Gare de l’Est). Les périphériques vous parlent seront présents avec un stand dans les jardins de Villemin
(samedi de 15h à 19h00 et dimanche de 14h à 18h). A cette occasion, nous organisons une projection le dimanche 11 octobre de 12h00 à 12h30 de cinéflash "Travail et Démocratie" à la Chapelle des Récollets.

• Samedi 10 octobre une première rencontre sur les discriminations attenantes au logement est prévue au théâtre de Villeneuve Saint Georges. Les périphériques participent à cette rencontre et présentent un ciné-flash à cette occasion.

• Samedi 17 et le dimanche 18 octobre (inauguration le 16 au soir), vous pourrez venir nous retrouver à Paris au 19ème Salon de la Revue à l’espace des Blancs-Manteaux - 48, rue Vieille-du-Temple (Paris 4ème). L’équipe de la rédaction interviendra à l’occasion de cet événement sur le thème "Que peut-on dire de la cohérence éditoriale d’une revue ?" le dimanche 18 octobre à 16h à l’espace Ephémère.

• Le 21 octobre au 102 dans le cadre "Cultures du Monde en Rhône-Alpes" à Grenoble : projection des films Les attracteurs étranges et Un imaginaire pour une mondialité à faire à 20h30.

• Mercredi 28 octobre 2009 à 20h Géographies fracturées (1/4) au cinéma le Méliès à Montreuil Sous Bois, à l’invitation de la Maison Populaire : projection du film Les Attracteurs étranges (ou la pensée du tremblement chez Edouard Glissant) (2004 - 70’), en présence de la réalisatrice Federica Bertelli et de l’association le Peuple qui manque. L’idée centrale développée dans le film, à savoir la mondialité, précède le phénomène récent de la mondialisation économiste. Cette réflexion, qui a pour but le dépassement des repliements identitaires, nous invite à porter un autre regard sur le monde actuel en prenant en considération "la créolisation", "le métissage culturel qui produit de l’imprévisible", selon Édouard Glissant. Il s’agit de consentir, comme l’affirme l’écrivain, à "la valeur tremblante non pas seulement des métissages culturels mais, plus avant, des cultures de métissage, qui nous préservent peut-être des limites ou des intolérances qui nous guettent".